Sur le même site web québécois, j’ai récemment regardé « Le dîner de cons ». Ce film m’a beaucoup plu. C’est une comédie d’erreurs et, également, de mœurs qui met en lumière la cruauté de nous tous. Bien que vous trouviez cette description un peu ennuyeuse, c’est une histoire bien marrante.

Un réseau d’homme d’affaires prospères et parfois corrompus s’amusent en invitant un « con » au dîner sous le prétexte d’offrir cette cible de leur méchanceté une opportunité commerciale. Le « con » choisi s’appelle François Pignon, un mec humble et crédule qui s’intéresse à faire des maquettes d’allumettes. L’hôte du dîner s’appelle Pierre Brochant et il a l’intention de faire de Pignon une risée. Mais, plus Brochant essaie de duper sa cible, plus Brochant se met en risque de perdre sa femme et de se faire inculper pour fraude fiscale. A la suite d’une série de gaffes, Brochant a failli tout perdre à cause de ses propres manigances.

Après un certain temps, Pignon se rend compte qu’il est en train d’être dupé. C’est à ce moment-là où Pignon inverse les rôles. Le vrai con, c’est Brochant. En dépit de tout ce que Brochant a fait de Pignon, Pignon ne peut faire que de lui offrir sa bienveillance. C’est sa nature. Du coup, Pignon aide Brochant cacher tous ses objets d’art volés de la vue du procureur qui est sur le point de rendre visite chez Brochant. Pignon aussi dit un petit mensonge à la femme de Brochant pour la convaincre de rejoindre son mari. Tout est bien qui finit bien.

A la fin de « Le dîner de cons », c’est Pignon qui a inconsciemment donné une leçon à Brochant, un résultat qui n’était pas prévu au début. Ce film, je vous le recommande.