Toujours, je suis très interessante de l'identité et de la culture ou des cultures de personnes. Je pense que c'est parce que j'ai pris beaucoup de temps dans ma vie de les réflechir. Toute ma vie j'ai la sentiment que je suis une étrangere. Quand j'étais un enfant, nous habitions à la campagne. J'adore la campagne, la nature, la quiétude, mais c'était difficile de trouver des amis qui étaient interessés par les même choses que moi. J'attandais le jour ce quand je pourrais déménanger quelque par autre.

Quand j'avais vingt ans j'ai quitté la village et déménagé en ville pour mes études à l'université. Parce que j'avais choisi un domaine d'études qui m'interèssaint je pouvais trouver les bons amis. Mais... J'étais encore étranger parce que j'avais grandi à la campagne. Je n'étais pas sufficement "cool".

Après quelques années j'ai voyagé en Zambie pour mon stage professionel qui était une parte de mes études. L'éxperience de vivre en Zambie était remarquable! Les gens étaient très sympas, le travaille était énormement intreressent et je me sentais libre très loin de la maison. J'ai retourné chaque années là-bas, fondé un projet avec une organisation locale, qui m'a donné une raison acceptable de retourner encore et encore.

Finalement, j'ai eu un emploi en Zambie et j'ai pu acheter une voyage sans retour et y déménager. J'ai pensé que je n'avais pas retournerais. Mais après cinq ans y travailler et habiter, je n'ai pas pu trouver un travail qui m'a interessé. Et je n'ai pas trouvé ma place comme j'avais ésperé. J'ai postulé beaucoup de postes dans le monde entier. Tout d'en coup j'ai eu un poste en Finland ! J'ai retourné à la maison mais je m'ai senti comme une étranger encore. Pendant les cinq ans que j'habitais autre-par beaucoup avais changé. Petit à petit j'arrivais m'integrer à nouveau dans mon pays maternel.

Ça fait sept ans j'habite en Finland. Je pense que j'ai réussi à trouver ma place ici; j'ai un bon travail, les enfants, le mariage, quelques amis. Je me sens toujours un peu different, mais j'ai réalisé que pour trouver ma place, c'est un processus d'integrer des parties de moi-même, pas de trouver un group auquel j'appartiens. Je ne cherche plus moi-même de l'exterioté.