Voici ce que j'ai lu mardi.
Alain: Intelligente et belle – au point que la poète du Bellay écrit qu’elle a << tant de beautés d’esprit et de beautés de face >> -, Marie a tout pour être heureuse.
Alan: Mais était-elle en fait, heureuse ?
Alain: Elle a 16 ans lorsqu’elle épouse le dauphin François, lors d’une cérémonie grandiose, à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Immédiatement après, le roi Henri II meurt.
Alan: La voici reine d’Écosse et de France !
Alain: Les courtisans la poussent à voir encore plus grand. La couronne d’Angleterre est pour elle, la flattent-ils.
Alan: Ainsi, la soif d'un pouvoir encore plus grand a été engendrée en elle dès son plus jeune âge.
Alain: Et pourquoi pas, songe Marie, grisée par les succès. Le trône est alors occupé par sa cousine Elisabeth Ire, mais Marie, descendante de la sœur d’Henri VIII, a de solides arguments pour le lui disputer.