Ma grand-mère, chez qui j'ai passé beaucoup de temps quand j'étais un enfant, a appris un peu d'italien et elle a aimé le français aussi, mais elle ne savait pas le parler. Je pense, que mon amour pour les langues vient d'elle. Moi comme un enfant, je n'ai que savoir parler l'allemand, mais quand j'avais environ 8 ou 9 ans, ma mère et moi avons visité une librairie. Là-bas j'ai decouvert une petite dictionaire allemand-français. Le livre n'était pas plus grand qu'une paume. Ma mère a dit: «Mais pourquoi tu veux ça, tu ne sais pas le français!» C'était vrai, mais ça m'était égal. J'ai voulu ce livre, il y avait aucune chance, que je l'ai redonné.
Deux ans plus tarde il m'a fallait de choisir un lycée. Il y avait beaucoup de possibilitées, mais j'ai su, que je ne veux que un lycée, que offrir le français comme une martière. Les années après j'ai eu seulement l'anglais comme une martière – et j'étais très, très mal. La langue ne m'ai pas du tout intéressé. Mes parents avaient peurre du français, parce qu'ils croyaient, que les langues étaient difficille pour en géneral. Et quand j'avais 14 (en Autriche, on commence le lycée quand on a 10 ans) le cours de français commençait pour moi en fin – et j'avais des bonnes notes! Mes parents étaient soulagés – mais mon anglais était plus encore horrible. Le français, que j'ai appris à l'école, j'ai appris à ma grand-mère à la maison.
Aujourd'hui j'adore la langue française, mais j'ai perdu la main. Donc j'écris des textes pour reforcer mon français.