Je suis triste, mais je sens que ma tristesse peut être une exagération, ou du moins, c’est l’impression que les autres ont à mon égard. Mais la situation n’est pas aussi simple qu'il y paraît. Je n’ai crier pas tout le jour seulement pour la mort imminente de mon second oncle. Pas dans son intégralité, en tout cas. Nous sommes en mars, le même mois que mon second cousin - qui j’ai aimant comment quelque autre cousin, parce que nous étions très proches, était décédé. Cela s'est produit il-y-a 13 ans. Lui et moi, ce jour, avons 12 ans. Il était le seul cousin de mon âge. Et en mars, autre fois, un membre de cette famille - son père - est proche de la mort. Il ne parle pas beaucoup, mais dans ses hallucinations et paroles déroutantes, il dit que son fils est à côté de lui. Mon oncle est très sympa, aussi, et je me suis bien entendu avec lui toute ma vie. Alors, pour une part, cette situation est triste pour la maladie de mon oncle, mais pour l’autre partie, c’est une triste souvenir d’un vieil ami perdu au jeune âge de 12 ans.