(I don't know why it formatted weird, but I wrote this somewhere else and copy pasted it so it doesn't have breaks now idk)
Une langue moderne doit changer et se développer avec les locuteurs et la société qui parlent la langue. Cependant, quand on a une organisation comme l’Académie Française, cela devient difficile. L’Académie Française, qui établit en 1634 de Cardinal Richelieu, était destiné à maintenir les critères de la langue française, et également commencer la langue littéraire[1]. Dans les années plus récente l’Académie a discuté obstinément avec les mouvements non-sexiste des francophones qui sont plus féministes et avant-gardistes. Ils ne sont pas très populaires avec tous les francophones. C’est la raison pour laquelle les francophones développent nouvelles façons inclure les deux sexes sans utiliser le masculin comme le sexe défaut même sans l’autorisation de l’Académie. L’ignorance des francophones pour l’autorisation de l’Académie est satisfaisante pour réaliser que l’Académie Française a devenue superflue, maintenant. Pourquoi est-ce qu’une langue changerait ? Il faut réaliser que les langues sont supposées correspondre à ceux qui le parlent. « Mon avis de l’Académie Française (et je crois que beaucoup des françaises sont d’accord de moi) c’est qu’ils sont une bande de ‘vieux hommes’ » Maud Boucher du Alliance Française d’Adelaïde, un exemple primaire. En français la discrimination des femmes ne correspond pas aux avis de la plupart des francophonies. Par exemple, même si des femmes sont la majorité dans un groupe ou une équipe, c’est suffisant ajouter seule un garçon, on devrait utiliser du pronom masculin ils. Françoise Vouillot, présidente de la commission Lutte contre les stéréotypes du HCE, elle a dit à France 24 « Un semestre, j’ai enseigné une classe d’université de 65 étudiants, 64 de qui étaient des femmes. Mais la règle grammaticale dicte que, ainsi qu’il y a un étudiant masculin, je devrais m’adresser au groupe en utilisant ‘ils’. C’est comme si je dise aux filles que tout la 64 d’entre elles importent moins qu’un garçon. »[2]. Cette règle veut dire que les femmes sont souvent défavorisées en littérature et conversation.Il apparait clairement aux francophones que c’est quelque chose celui que doit résolve. Afin de réparer ce problème, le monde a suggéré une façon d’inclure les deux sexes. Ils ont proposé ajouter les deux suffixes masculins et féminines et utiliser les deux articles définis avec les noms. En utilisant un point entre les deux, on pourra inclure les deux sexes. On remarquerait, et ils n’auraient pas tort, que c’est une façon difficile, inefficace, et ennuyeuse. Par exemple, afin de référer à plusieurs directeurs qui comprenait des femmes et des hommes, il faudrait d’écrire ‘Le∙la direct∙eur∙trice’, qui pose plein de problèmes également parlée. Qu’est que disent l’Académie. Deux des Immortels, Georges Dumézil et Claude Lévi-Strauss ont répondu au nom de l’Académie ; « Il convient de rappeler que le masculin est en français le genre non marqué et peut de ce fait désigner indifféremment les hommes et les femmes »[3].Étrangement, l’Académie ne comprend pas qu’ayant le masculin par défaut, ceci revient à effacer le féminine ; ils disent qu’introduire une nouvelle façon inclure les deux sexes pourrait tenir un risque d’établir une discrimination entre les hommes et les femmes[4]. Au lieu de demander « Pourquoi est-ce que le féminin n’est pas le sexe de défaut ? », l’Académie a décidé seulement d’essayer à justifier pourquoi c’est le masculin. Qu’est-celui qu’est intéressant c’est qu’ils n’apparaissent pas avoir réaliser qu’il y a une encore discrimination ; ne pas permettre des femmes à utiliser le pronom féminin quand elles sont la majorité. Il semblait que l’Académie dirige à discréditer ceux qui prônent par cette façon non-sexiste d’écriture. L’Académie essaient à faire apparaitre ces défenseurs déraisonnables et leurs disputes excessives. Si on pense, inclure les deux suffixes et deux pronoms ne serait pas trop difficile, mais l’Académie choisie argumenter qu’il serait excessif. Deux figures notables du mouvement français non sexist ont fourni des réponses à ces critiques, et autres du type. Eliane Viennot, professeure de lettres à l’université Jean-Monnet de Saint-Etienne, et l’autrice du livre Non le masculin ne l’emporte pas sur le féminin ! a dit « Sûr, nous travaillons encore sur l’écriture. Avec le temps, les choses vont devenir plus standardisées. »[5].Françoise Vouillot a donné aussi une réponse, en disant ; « Nous tenons [également] à souligner que notre guide est destiné à la communication écrite. Nous n’avons jamais dit que les gens devaient commencer à parler ainsi. »[6]. Autour de ces débats, dont que l’Académie refuse d’entendre est que la question n’est pas féminiser la langue mais la démasculiniser. Si une organisation comme l’Académie existe seulement à dicter comment une langue doit être parlée ou écrite, une langue ne pourra pas se développer ? L’Académie a constamment éviter la progression de la langue, même quand les francophones essaient à changer la langue pour qu’il convienne les gens qui parlent. Les Immortels ne peuvent pas comprendre que si tous les locuteurs d’une langue ont besoin de la langue à changer, cela est qui doit se passer.