Bonjour, Journaly!
J'espère que tu vas m'aider à écrire plus souvent.
Le mois dernier je suis allé à Ottawa, la capitale canadienne. Je ne peux dire que c'est une ville bilingue, mais il y a beacoup de librairies là avec des livres en français.
Je suis retournée a Ontario avec une pile de livres, un vrai trésor. L'un d'eux est Le Pianiste, les memoires de Wladyslaw Szpilman. J'aime bien le film par Polanski, mais le livre est toujours une autre chose à decouvrir. Le livre comprend les observations de Szpilman pendant la période de la seconde guerre mondiale ainsi que son réflexions sur les événements tragique à Varsovie.
Il a été surnomé "Robinson de Varsovie" pour se cacher dans les décombres de la ville en ruine. Le livre est tres touchant. On s'agit d'atrocités inhumaines et en même temps de l'humanité la plus élevée, du soutien de la famille et de l'amitié.
Szpilman a été sauvé par quelqu'un de moins attendu: Wilm Hosenfeld, un officier allemand.
Le livre comprend aussi les lettres de Hosenfeld qu'il a écrit a sa famille. Étant enseignant, il a été forcé à prendre part à la guerre, même s'il était contre.
Ceci est une citation finale:
Je me suis arrêté, reprenant mon souffle. Mon regard a dérivé vers le nord de la ville, vers le ghetto, ses cinq mille Juifs assassinés... Il n'en demeurait aucune trace. Les Allemands étaient allés jusqu'à renverser les derniers murs des maisons incendiées.
Demain, je devais entamer une nouvelle vie. Comment y arriver quand il n'y avait que de la morte derrière moi? Quelle énergie vitale pouvais-je tirer de toute cette destruction?
J'ai repris ma route (...)
great Job