Dans un entrétien recément vue sur le suject, Paul Sugy donne son opinion sur le mouvement politique emergant qui est en oposition de la phenonème de "spécisme." Or, les proponents de ce mouvement se definissent comme les "antispécistes."
Les racines d'antispecisme se fondent sur la logique tres frequente dans les debats actuels; essentiellement on pose le question; "est-ce-que sont les êtres humains fondamentalement differentes de tous les autres êtres?" "Peut-on les accorder les mêmes droits que nous en tant qu'une peuple des pensées facultatives?" Sugy dit que non. Si on prendre l'example de la suffrance, par example, it est inutile et parfois dommageable de se faire croire que les animaux pourraient comprendre où s'expliquer les douleurs comme nous (bien que certainement ils souffrent). Nous utilisons l'art: la litterature, la musique, le poésie afin de l'attenuer.
De plus, cette tendance perniseuse met en dangeur la notion de responsabilité que nous avons naturalement a l'égard nos amis animaux. Nous devons nous voir comme leurs gardiens et non pas leurs egales. Si on commence à nier une difference réelle on risque de perdre notre humanité. Il y a un ordre naturelle composant des predateurs-victimes et l'on doit s'y placer si jamais l'on perdre notre perception de nous-memes. Le choix serait entre l'industrialisme intense, où l'oublie complèt des animaux dans notre monde (a part leur status de predateur-proie). Ça ne tourne pas ronde.
Merci pour ce résumé 🙂 Les enfants sont aussi incapables d'exprimer les douleurs comme les adultes, est-ce qu'on ne doit leur épargné la souffrance ? Et si nous sommes les gardiens des animaux, nous ne devons pas les protéger ? Nous n'avons pas déjà transgressé l'ordre naturel avec l'agriculture industrielle de nos jours ?
Très intéressant, cependant certains passages ne sont pas compréhensibles.
@professorrWho (Merci d'avoir corriger avec tant de soin. Ça m'aide beaucoup). A propos votre commentaire, je suis complètement d'accord qu'on doit épargner la souffrance dans la mesure que l'on peux. Je crois que l'argument de Sugy était de ne pas confondre ce responsabilité et tendresse humain avec une conviction que les êtres animaux doivent êtres accordés les mêmes charactéristiques que les humains. Le fait qu'ils soient vulnerable le plupart de temps nous en rappelle.
@ProfessorWho À mon avis (et pour être honnête je n'ai pas trop réflechis sur le sujet) quand il s'agit de l'agriculture et surtout l'agriculture industrialisé le discourse est plus nuancé et complex. L'on pourrait bien argumenter que l'industrialisation n'est pas un transgression de l'ordre naturelle - c'est l'ordre naturelle exploité par l'intelligence et moyens des êtres humains? (pardon si je ne suis pas compréhensible à ce point). Ce que Sugy essayait à dire c'est que les humans continuerons d'exploiter les animaux (qui n'est pas "mauvais" en soi) et si l'on continue à le faire dans le monde il y en a un façon meilleure que l'autre. J'ai l'impression que l'activisme (en étant trop clos et naïf sur ce point en ciblant que tous les humains arretêront de manger des animaux) court le risque de minimiser le "bon moyen" (l'artisanat etc). Dans le monde en large nous mangeons PLUS de viande avec le temps, particulièrement dans le tiers monde. Soudainement nous n'aurons plus que la dichotomie industrie violente contre le végétalisme.