Je suis tombée enceinte l'année derniére avec mon tout premier fils. Le moment de la découverte, c'était tellement joyeux ! Mais peu à peu, j'ai commencé à apprendre qu'avoir des enfants dans mon propre pays n'est pas quelque chose de facile. La raison pour ça c'est une seule : la violence obstétrique.
On sait très bien que il y a de la violence partout quand le sujet c'est la grossesse et l'accouchement, mais j'ai été vraiment alarmée quand j'ai appris les chiffres sur Brésil : par exemple, l'OMS prédit que seulement 15% de tous les naissances doivent être césariennes, parque ce que la plupart des grossesses sont capables de s'achever de façon normal. Au Brésil, c'est tout à fait le contraire, et 85% des enfants sont nés par césarienne. La raison pour tout ça c'est parce que les docteurs sont payés plus cher, spécialement dans le systéme privé de la santé, pour faire des c-sections, alors ils souvent essaient de trouver des justifications fausses pour convaincre les enceintes à avoir peur d'essayer un accouchement normal, et ses mensonges sont vraiment ridicules, comme "vous êtez trop douce ou mince, vous avez besoin de la chirurgie". Ça peut être observé dans le documentaire brésilien "La renaissance de l'accouchement", que est devenu très populaire et a aidé pluisieurs personnes à avoir un autre point de vue sur ce sujet. Ici, avoir des bebés est vu presque comme un marché par pluisieurs docteurs, mais ça commence à changer peu à peu.
Après avoir apprendre tout cela, je pourrais trouver le bon chemin et enfin, maintenant que je suis presque à la fin de ma grossesse, j'ai retrouvé des bons professionels de la santé que me guident sans faire du peur sans besoin et que se sont mis à jour sur les bonnes pratiques scientifiques. Ça a été difficile, mais a veut la peine.
Enfin, c'est vrai que la césarienne sauve des vies tous les jours et même moi peux en avoir besoin, mais on ne peut pas permettre que un moment tellement spécial pour nous devient une toile de mensonges et de peur, comme il est maintenant. J'éspere que dans le futur nous serons toutes plus informées sur les processus naturels de nos corps, et que nous pouvons faire plus de confiance à plus de médecins.