Un essai de moi de traduire un extrait d’un roman depuis l’arabe vers le français :
محاولة مني في ترجمة مقتطف من رواية من الفرنسية إلى العربية :
في تلك المرّة الوحيدة التي جلسا فيها في حديقة عامّة، أصيبت بالذعر حين مرّ بهما أحد المختلّين وهو يتشاجر مع نفسه، ويشتم المارّة ويهدّدهم بحجارة في يده. ظاهرة شاعت بسبب فقدان البعض صوابهم وتشرّد الكثيرين إثر الحرب الأهليّة... وما حلّ بالناس من غُبن وأهوال. ما زالت تضحك لتعليق مصطفى يومها وهو يطمئنها: ـ لا تخافي، نحن هنا في عصمة المجانين... لو داهمتنا الشرطة سأتظاهر بالجنون وأضربك فينصرفوا عنّا... إنّهم لا يتدخّلون إلاّ إذا قبّلتك! (مقتطفات من رواية الاسود يليق بك) - احلام مستغانمي
L’unique fois quand ils se sont assis ensemble dans un jardin public , elle a été effrayée quand un passant aliéné se disputait et se sentait les passants en les menaçait avec des pierres dans sa main.
C’était une phénomène répandue à cause de la perdue de raison chez quelques personnes, du vagabondage de beaucoup de gens à la suite de la guerre civil… et de la préjudice et des terreurs qui ont atteint les gens. Elle rit toujours au commentaire que Moustafa a fait pour l’assurer ce jour-là, il a dit :
N’ais pas peur, on est ici dans la garde des fous … si les policier nous surprennent, je ferai semblant d’un fou et te frapperai ; alors ils vont nous laisser… Ils n’interviennent que si je t’embrasse !
Des extraits du roman d’Ahlam Moustaghanmi , Alasouad yalik biki (Le noir te va)